Bonjour à toutes et à tous,

Aujurd'hui, je vous propose une petite histoire de Dominique. Lisez là, fermez les yeux et pensez à cette femmes ou une autre qui travaille avec vous ou que vous cotoyez...

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Bonjour Chris,

Je lis avec passion vos aventures casanovienne, pas français je sais mais vous me faites penser à Casanova qui volait de fenêtre en fenêtre vers les plus belles femmes.
Je vais vous compter une de mes rencontres mais malheureusement sans photos, à l'époque les portables n'étaient pas aussi équipés.

En 1995 je fais la connaissance d'une femme magnifique, je n'avais que 30ans et la belle au moins 46ans. Elle était standardiste dans la boite ou je travaillais. Longtemps j'ai admiré  ses formes voluptueuses, elle ressemblait à TINA TURNER, si si c'est vrai. 
En 2003 je me décidais enfin à lui avouer mes sentiments, nous nous retrouvions souvent le soir pour boire un verre et discuter. Nous échangions qu'un baiser furtif, mais je sentais sa forte poitrine sur moi à chaque fois. Elle était séparé et voyait régulièrement un autre homme plus jeune qu'elle, avec qui elle partageait sa vie. Mais en 2004 le concurrent est parti avec une petite jeunette. La place était libre enfin!
Je me suis mis en quête de lui avouer que je la désirais plus que tout, j'étais responsable informatique dans ma boîte et cela lui permettait de m'appeler pour tout problème, le nombre de fois ou je me suis glissé à côté d'elle, je bandais à chaque fois! 
Elle femme mûre avec un décolleté à faire pâlir un mort, des seins que je devinais, que je désirai mais j'osais juste poser ma main sur ses cuisses. 
De temps en temps nous échangions un baiser. Jusqu'au jour ou je lui demande cache, "TINA j'ai envie de te faire l'amour". Elle était devenue secrétaire de directeur Regional, des horaires différents et surtout plus loin de moi. Mais sa gentillesse lui permit d'avoir la garde d'un appartement d'une  collègue, et là tout commença. Un jour vers les 13h00 je la rejoignais, et la elle avait un chemisier au travers duquel je devinais ses seins majestueux, elle avait une jupe étroite des talons. Nous sommes embrassé longtemps puis mes mains ont commencer à la caresser.  
Délicatement je sors ses seins de son chemisier ouvert, ils sont beaux, bronzés, lourds mais pas tombant, ils sont merveilleux, je me mets à les lécher, lécher, elle aime ça, un petit gémissement survient lorsque je lui mordille ses tout petits tétons, ses seins non pas d'auréoles juste de tout petits tétons tout dur, je les aime. Sa main est sur mon sexe et me caresse, et là délicatement je relève sa jupe pour prendre ses fesses dans mes mains, elle aime et se dandine de gauche à droite, mais il faut qu'elle reparte. "Nous nous retrouverons ce soir mon cœur, au bar".
Ce soir là! Nous conviendrons de nous retrouver chez elle un matin.
Ce matin là arriva et je sonnais à sa porte, elle était en robe de chambre. Elle me décrira vite fait les pièces du bas et me prend la main et me demande de la suivre plus haut. La nous pénétrons dans sa chambre et là, elle quitte sa robe de chambre pour laisser apparaître une nuisette rouge, ses seins pointaient, ses hanches étaient dessinées agréablement par ce satin soyeux, elle me sourie je lui dis: "tu es belle mon amour!" et nous échangeons des baisers fougueux, passionnels. Sa langue en moi me fait réagir, je fais glisser une bretelle pour dégager un sein, que je suce généreusement, sa main déboutonne mon pantalon et vient caresser mon sexe dur de plaisir, elle le sens. Je passe mon autre main sous sa nuisette pour arriver sous ses fesses que je remonte, j'aime toucher sa peau. Nous nous embrassons encore et encore puis je la guide vers son lit, elle s'allonge sur le dos la poitrine dévêtue. Ses seins son beaux bien ronds puissant, appétissant. Je me glisse entre ses cuisses et commence à l'embrasser sur la vulve brune, son sexe est humide de jouissance, c'est alors que je lèche avec délectation ce fruit rose. Elle gémit, bouge la tête de gauche à droite, elle aime ça, et tout doucement je remonte son corps jusqu'à ce que nos lèvres se retrouvent et enfin je m'enfouis en elle avec un va et vient lent et délicieux. Que c'était bon mon amour  s'esclame t'elle en me serrant contre cette poitrine opulente mais magnifique. La journée commence bien, quelques minutes plus tard je quittais ma TINA pour aller au travail.
Voici un récit bien réel, j'ai revu TINA une autre fois puis le travail m'a poussé plus loin et aujourd'hui je suis 600kms, et dire que je pourrai être avec elle.
Bonne journée 

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Sans me donne des frissons...

A bientôt

Chris