Mardi 27 novembre 2 27 /11 /Nov 09:26

Bonjour à toutes et à tous,

voici la confession de Michel :

"Ma douce ensorceleuse
 
Alice a 63 ans : Petite, bustée, un regard coquin, des fesses cambrées, toujours bien mise et un sourire !!!!
 
Je l’ai connue il y a plus de 10 ans, comptez, aujourd’hui j’en ai 48.
 
Lorsque je l’ai serrée dans mes bras pour la première fois j’ai ressenti un désir puissant que je ne maîtrisais ni n’analysais pas. Notre première étreinte fût passionnelle et, je dois l’avouer, le plaisir n’a pas tardé à venir remplacer le désir si bien qu’elle n’y trouva pas son compte. Une fois notre coït fini, je ressentais un grand vide, doublé d’une honte de m’exciter ainsi pour ce que l’on considère vulgairement comme « une vieille ».
 
De plus, nous nous fréquentions en « amis » dans le civil. J’étais désolé pour cette foucade. Je ne tardais pas à prendre congé, et, au moment de la quitter nos lèvres se sont rejointes à nouveau et une immense érection m’a immédiatement gagné. Elle était restée en peignoir, moi déjà rhabillé et en quelque secondes je l’emmenais dans sa cuisine, baissais mon pantalon, m’assis sur une chaise et elle vint s’empaler sur mon dard. Cette fois, elle eut un orgasme ravageur et je sentis des litres de son liquide se déverser sur mes cuisses : j’avais affaire à une femme fontaine.
 
Ecoeuré et excité à la fois, je la quittais, ne comprenant ce qu’il m’arrivait.
 
Nous ne nous revîmes pas d’un mois jusqu’à ce qu’elle me téléphone, dans le cadre ne nos activités commune, pour que je vienne l’aider à rédiger des courriers.
 
J’écrivais tant bien que mal, sur la table de sa cuisine. Et elle était assise en face de moi, un décolleté magnifique sans être vulgaire. Elle me  souriait souvent, me parlait de notre courrier comme si rien ne s’était passé. Souvent elle se levait, pour aller chercher un document, pour me préparer un café et, l’air de rien me frôlait en souriant jusqu’à ce que je pose mon stylo et lui dise : « Alice, je n’en peux plus ! ». Elle eût un petit rire : « ne me dis pas que je te fais tant d’effet, à mon âge ! ». Et je l’embrassais goulûment, elle m’emmène dans sa chambre et se déshabille. Elle porte des sous vêtements magnifiques et sans plus attendre je la prend en levrette, elle accrochée à sa coiffeuse et je l’entends gémir « oh Michel tu me fais jouir ». Puis très naturellement elle va se doucher, se changer, et nous retournons à nos occupations.
 
J’étais pris au piège de ma belle sorcière.
 
Souvent, elle joua encore à ce petit jeu et trop souvent je fus victime d’éjaculations précoces tant elle m’excitait. C’est pourquoi, étant marié à l’époque, et elle veuve, je luis dis que nous ne devions plus nous revoir. Mais la vie en décida autrement.
 
Elle m’invita à nouveau « en copains » pour que je l’aide dans des démarches administratives. Comme un collégien encore je bandais. J’étais de plus pressé et j’allais me masturber dans ses toilettes pour me calmer. Je résistais encore à ce désir que je ne maîtrisais pas.
 
Un jour, où je passais chez elle, une nouvelle fois j’étais très, très excité et elle pressée car elle attendait le facteur. J’étais dans son salon et, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ais sorti mon sexe et lui ai dit « caresse moi ». Là où j’attendais une empoignade franche et quelques aller retour qui calment mes ardeurs, je sentis une main douce, très douce, même trop me frôler le sexe… Une douceur qui ravivait l’intensité de mon désir sans le perdre… Ses doigts de fée tels une plume agaçaient mon sexe, j’avais envie qu’elle me fasse jouir mais elle prenait son temps… Une caresse sur le gland, une sur la hampe, sans appuyer… Je me tordais de désir sur son canapé et elle me souriait, m’agaçait de petits baisers sur le coin de ma bouche, puis au bout de longues minutes se décidait enfin à frotter mon sexe plus fort. J’eu à peine le temps d’ouvrir les pans de ma chemise que mon sperme se déversait à grandes giclées sur mon ventre. Elle s’essuya la main sur les poils de mon pubis, m’apporta un essuie tout pour que je me nettoie. Il était temps, on sonnait à sa porte et tandis que je me rajustais je l’entendais qui discutait très naturellement avec le facteur.
 
Jamais je n’avais ressenti de plaisir si intense et si doux. Je ne savais pas que j’avais découvert là un jeu dont je ne ma lasserais pas.
 
Lorsque je divorçais, je revis souvent Alice. Nous nous appelions aussi et un jour, je lui annonçais ma venue le lendemain matin et lui dit en plaisantant : « je ne viendrais pas  trop tôt, il faut que tu aise le temps de te préparer, de prendre ta douche car je te ferais jouir de ma bouche. » Elle eût un rire très coquin puis m’avoua que jamais un homme ne lui avait fait cela.
 
Le lendemain, c’était le début de l’été, et elle avait un petit corsaire blanc et un t-shirt rouge, moulant. Bien sûr, elle me prépara un café, minauda, me raconta ces petites histoires, ses petits malheurs, se laissant voler un baiser de ci de là, attendant que je sois cramoisi de désir.
 
Avec indulgence, elle me lança : « allez va, on va monter dans ma chambre, sinon il va arriver une catastrophe ».
 
Elle quitta lentement ses boucles d’oreilles, sa montre puis me dit avec un grand sourire « C’est l’homme qui doit déshabiller la femme, normalement ». Je quittais son t-shirt et elle avait un magnifique soutien gorge rouge et noir. Je l’allongeais sur le lit et commençait à l’embrasser. Puis je dégrafai son corsaire, me levait pour enlever ses chaussures et lui quitter son bas. Elle avait une culotte assortie. Je la contemplais.
« Mais que fais tu ?
-         Je t’admire !
-         Vraiment, il n’y a pas de quoi, une vieille comme moi !
-         Tu rigoles ! et en plus ta lingerie ! Tu fais tout pour que je sois fou de toi !
-         Oh tu sais, j’ai toujours aimé porter de belles chose »
 
A nouveau, je m’allonge auprès d’elle, encore habillé, en chaussettes, et je caresse chaque millimètre de sa peau, ses seins volumineux, son ventre un peu rond, ses fesse, puis mes doigts viennent dans son sexe « Dis donc, il n’y a pas que moi qui suis excité » lui dis-je en souriant. Je me résous à enlever son soutien gorge pour téter ses seins. Puis sa culotte. Son sexe est couvert d’une courte toison châtain. Puis j’y plonge ma tête.
 
Quel goût délicieux, encore savonneux et empreint de son odeur intime. Je suis à quatre pattes, tête bêche et je me délecte de son jus. Je suce son clitoris gonflé et je la sens bouger. Puis je reviens l’embrasser sur la bouche, je lui glisse à l’oreille « tu aimes chérie ? » tout en lui caressant le clitoris de mon doigt. « Oh oui, j’aime bine, mais toi, tu ne te déshabilles pas ? 
-         tu as raison, cela évitera les problèmes » et je quitte mon jean et mon t-shirt en quelques instants.
 
Je retourne boire à sa source nacrée et elle commence à me caresser le sexe en même temps de sa façon si douce mais je sens le plaisir monter. « Attends, laisse moi te faire jouir, tu t’occuperas de moi après ». Et à nouveau je plonge entre ses cuisses pour la titille de ma langue et de mes doigts. A nouveau je suce son clitoris et je sens son bassin bouger, je m’accroche à ses hanches pour ne pas bouger et j’avale son bouton d’amour… Comme un éruption volcanique ses mouvements se font plus amples et plus puissants, je suce et suce encore et je l’entends grogner  « Oh, tu me fais du bien !!! ». Quel plaisir de la sentir jouir ainsi ! Je continue à la lécher, à caresser ses seins jusqu’à ce que la marée descende et quand il n’y a plus rien, je reviens m’allonger à côté d’elle. Sa figure est calme est apaisée et je la couvre de baisers doux.
 
Je sens sa main s’aventurer sur mon ventre, puis, comme par erreur effleurer mon sexe. C’est comme une décharge électrique. Elle sourit mais continue à me caresser le pubis, le torse de ses mains si douces.
 
De temps en temps, elle frôle mon sexe puis reprend ses caresses. Je me tortille pour essayer de l’amener vers sa main, mais elle, imperturbable, continue ses caresses sur mon corps.
 
Elle vient caresser mes couilles et son avant bras frôle mon sexe en même temps. Elle sent que j’aime et vient me caresser autour de l’anus, me frôlant toujours de son bras. Elle a la peau si douce que le désir monte, monte. Elle doit le sentir car à nouveau, elle caresse mon ventre.
 
« Alice, je n’en peux plus », alors, avec son sourire si charmeur, elle vient enfin poser sa main sur mon sexe, sans l’empoigner et caresser la hampe, puis le frein avec une légèreté qui porte mon désir au firmament.
 
A chaque fois qu’elle sent que le point de non retour n’est pas loin, elle s’éloigne à nouveau de mon sexe pour d’autres caresses, je la supplie mais rien n’y fait.
 
A nouveau, elle caresse mon sexe pour me faire monter, ça y est, si elle continue je jouis !
 
Mais non, sa main se place dans mes cheveux et elle me donne un baiser . Elle se tourne sur le côté et je sens sa cuisse monter sur la mienne puis sur mon sexe. Que la peau de sa cuisse est douce à l’intérieur ! Et elle fait monter et descendre sa cuisse sur mon sexe jusqu’à ce que j’éjacule, par petits jets. Quel orgasme !!!!
 
« Alors, c’était bon ? » me dit elle quand j’ai repris mes esprits, tout en riant .
 
Et comment que c’était bon !!! pendant 10 ans je me suis laissé faire par cette douce ensorceleuse, qui avait encore d’autre tours, ou d’autres « branlettes » dans son sac ! Quel dommage que tout cela soit terminé !"

Merci Michel pour cette magnifque histoire

Si vous aussi, vous avez quelque chose à partager alors n'hésiter pas....

Peut-être Alice

Bonne journée à vous
 
 
 
 

Par chrisgueg - Publié dans : Contrib
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