Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 11:06

J’habite une petite maison comme quelques voisins avec qui je n’ai eu que très peu d’échanges. Depuis 6 mois, j’ai commencé à voir souvent ma voisine car son mari souffrait de cette maladie le cancer et elle devait se rendre souvent à l’hôpital. Ce couple de 60 ans n’ayant pas eu d’enfants, ils se sont pris un peu d’affection pour moi et pour les services que je leur rendais

Cette histoire a véritablement commencé lors du décès mon voisin. Je me souviens encore de la procession et de ce bras que ma voisine me serrait pour aller vers le cimetière. J’ai toujours été attiré par les femmes plus âgées : Elle était vêtue d’une jupe noire et de beaux collants noires gainaient ses belles jambes. Avant de la quitter, ce soir là, elle m’a regardé droit dans les yeux en me disant : " Christian, je n’ai plus que toi et nous sommes seuls tous les deux. Aides moi à revivre ". Elle m’a embrassé sur la joue puis elle a regagné sa voiture d’un pas lourd. Je l’ai suivi et je lui ai demandé si elle ne voulait pas que je la raccompagne chez elle. Elle a acquiéssé en me disant qu’avec tous les médicaments qu’elle avait prise elle ne se sentait pas capable de conduire.

Nous sommes arrivés chez elle et elle m’a proposé un verre d’alcool fort. Nous l’avons bu lentement assis l’un en face de l’autre sur le canapé du salon. Elle me parlait de son homme, de sa vie de femme et de son manque de sommeil. Elle s’est levée et nous a servi un second verre puis elle s’est assis à mes cotés. Naturellement, je lui ai demandé de venir contre moi pour la rassurer. Elle a blottie sa petite tête contre mon épaule pendant qu’elle vidait son verre. Je lui ai dit que le mélange médicament et alcool ne faisaient pas bon ménage. 5 minutes se sont passées et je me suis aperçu qu’elle s’était endormie contre moi.

Alors, je l’ai prise dans mes bras et l’ai amené dans la chambre d’ami où je savais qu’elle dormait depuis la mort de son mari. J’aurais pu la mettre au lit avec ses vêtements mais j’avais envie de voir son corps. Pour la forme, j’ai essayé de la réveiller. Et je me suis en charge de la déshabiller délicatement. Rapidement, son chemisier et sa jupe ont atterri sur la moquette. Devant moi, j’avais une femme d’1,65 pour 52 kg en sous-vêtement et en collant noir. Prenant mon courage à deux mains, j’ai rapidement enlevé ce collant en prenant soin de caresser ces belles jambes. J’aurais pu arrêter là mais j’avais envie de caresser une femme, de voir, de toucher. Alors, j’ai posé ma main sur son sein gauche recouvert et je l’ai massé puis je l’ai sorti du balconnet : j’ai pu m’apercevoir que l’auréole était large et brune et que le téton était très dur. J’ai effectué la même opération avec son jumeau et je suis mis à faire rouler ces beaux tétons entre mes doigts. Toujours pas de signe, elle dort comme un bébé mais soupire par moment. Au bout de 5 min, j’ai retiré le soutien gorge. Mon dieu qu’elle était bandante. Alors je me suis en devoir de lui enlever sa culotte : une culotte en coton blanche. Rapidement, Ginette s’est retrouvée nue devant moi. Sa toison était très velue et paraissait mal soignée mais je n’ai pas pu me retenir de passer ma main entre ses cuisses. Quelle chaleur, quelle humidité, mon doigt a rapidement trouvé l’entrée de son sexe. Ma queue était dure comme du bois et je l’ai sortie pour me masturber devant ce spectacle grandiose. J’allais d’un téton à un autre avec mon gland violacé par le désir et je n’ai pu me retenir : Une giclée a atterri sur son visage , une autre dans son cou et le reste dans la vallée entre ses deux seins. Affolé, j’ai rapidement mis une couverture sur elle, me suis reboutonné et je suis parti. Avant de partir, je me suis penché sur elle et j’ai déposé mes lèvres sur les siennes.

En rentrant chez moi, j’ai du me masturber encore deux fois avant de trouver le sommeil avec les images de ces seins, de son sexe et du sperme sur son visage.

Le lendemain matin vers 10h, la sonnerie du téléphone m’a sorti de mon sommeil.

Moi : Allo

Elle : C’est moi, Ginette

Moi (pas rassuré) : Bonjour, ca va mieux

Elle : J’ai agréablement dormi mais je ne sais pas comment je suis arrivé dans mon lit et quand tu es parti

Moi : Je t’ai quitté, tu allais dormir

Elle : J’étais tellement fatigué que je n’ai pas eu la force de mettre une chemise de nuit

Moi : Tu sais, moi je dors nu et je trouve cela très agréable

Elle : Excuse moi pour hier ,mais

Moi : C’est normal, je suis passé par là et je ne te laisserai pas seule, je vais m’occuper de toi.

Etc…

Trois mois, ce sont passés et mon attirance pour Ginette devenait de plus en forte : il ne se passait pas un jour sans que je me masturbe en revoyant ses seins, son sexe…Pendant ces trois mois, je suis devenue son ami et elle est devenue mon amie. Un climat d’amitié profonde s’est instauré et elle se dévoilait de plus en plus. Je lui disait mes goûts pour les collants, les femmes en jupes, pour les femmes plus âgées, le naturisme, les sexes épilés… Elle devenait de plus en plus réceptive : elle s’habillait qu’en jupe avec des beaux collants. Je lui disait que son visage serait mis en valeur avec un peu de maquillage. Alors, elle se maquillait : chose que son mari détestait.

Un samedi, elle est venue à la maison mais et je l’ai vu arrivé : j’ai voulu lui montrer comment je suis fait. Je me suis déshabillé rapidement et j’ai mis une serviette autour de la taille. Lorsque j’ai ouvert la porte, je lui ai dit que j’allais prendre une douche qu’elle pouvait m’attendre dans le salon. Après avoir pris ma douche et évidemment je me suis masturbé : je l’ai appelé pour qu’elle me donne une serviette de bain. Je suis sorti de la cabine lorsqu’elle a ouvert la porte.

Elle : Oh excuse moi (son regard était porté sur mon sexe)

Moi : Merci pour la serviette

Elle : Je te laisse ( son regard était pétillant)

Moi : J’arrive

J’ai mis rapidement un caleçon et je suis arrivé dans le salon torse nu

Elle : je passait dans le coin et je me suis dit que je ne t’avais pas vu depuis longtemps

Moi : (faisant mine de ne pas comprendre) : Si hier c’est longtemps mais je suis toujours ravi de te voir

Elle (son visage s’est empourpré) : tu sais hier je suis tombé sur un film cochon..

Moi : Ah oui pour te masturber

Elle : Christian

Moi : Tu sais se masturber c’est bien naturel. J’aime bien me masturber sous la douche par exemple. Le jet sur les testicules ou sur l’anus. Ca me fait jouir à tout les coups. Comme tout à l’heure

Elle : Ah bon, tu t’es masturbé alors que j’étais là. C’est pour ça que ton sexe était si gros.

Moi : Tu sais, il avait diminué un petit peu quand même. Et je ne te trouves pas choquée parce que je me suis masturbé

Elle : C’est vrai

Moi : On se donne du plaisir comme on peux lorsqu’on est seul

J’avais de nouveau une érection. Mon caleçon devenait trop petit

Elle : Bon je te laisse

Moi : Attends j’ai quelques films si tu veux. J’ai deux films où tu verras ce sont des femmes disons mûres. Il y a de tout sodomie, fellation, etc. Tu me raconteras

Elle : Merci

Puis elle est parti en m’embrassant, j’ai fait exprès de me coller à elle. Sa main a rencontré mon sexe furtivement. Et en se séparant, elle a jeté un coup d’œil rapide sur mon sexe. Autant vous dire, que je me suis masturbé lorsqu’elle est partie

Deux heures plus tard, n’y tenant plus, je lui ai passé un coup de téléphone :

Moi : re bonjour c ‘est moi

Elle (la vois troublée) : Oui

Moi : Je ne te déranges pas quand même

Elle : Non

Moi : Je voulais te dire qu’il y avait aussi sur les films un peu d’homosexualité

Elle : Ah bon

Moi : Tu les as déjà regardé je suppose

Elle : Non (un peu génée)

Moi : On se dit tout Ginette

Elle : Oui, figure toi que je suis sur mon lit et que je finis le 1er

Moi : Alors, tu as trouvé ça comment

Elle : Bien

Moi : ça ne t’as pas laissée indifférente

Elle : Oui, j’ai le bas ventre en ébullition

Moi : Ne dit rien : tu es nue et tes mains se baladent de tes seins à ton sexe

Elle : Ouii

Moi : Oses Ginette, prends ton pied masturbes toi tu verras ce seras très bon.

Elle : Tu crois, c’est moche

Moi : Non, ca fait un bien fou. Tu vois j’ai la queue bandée, je crois que je vais me masturber encore

Elle : Oh Christian

Moi : je te laisses, je vais jouir. Rappelles moi qu’en tu auras finis

Et j’ai raccroché. Dix minutes plus tard, la sonnerie du téléphone retentit :

Elle : Christian, c’était fabuleux

Moi : Déjà fini

Elle : tu n’as pas joui encore

Moi : Non, j’ai un main sur le combiné et l’autre qui me caresse

Elle : Oh, j’aimerais t’entendre jouir Christian

Moi : Et puis quoi encore

Elle : S’il te plait, ça m’excite

Moi : Tu es comment encore nue

Elle : oui, jouis christian pour moi

Moi : caresses toi aussi alors je mets le main libre, je veux entendre tes doigts dans ton sexe. Elle doit être trempée ta petite chatte

Elle : Je n’ai jamais été aussi trempée, oh ça vient encore Christian

Moi : Moi auussiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Et j’ai raccroché.

Nous nous sommes revus mais aucun de nous avons fait mention de cet événement. Noël approchant, j’avais vraiment envie d’être son cadeau de Noël. Aussi, j’ai pris mes congés en même temps qu’elle et je l’ai interrogé sur son emploi du temps pour la période des fêtes. Elle ne faisait rien et elle m’interrogea en me disant : si tu veux on peut réveillonner ensemble mais pas ici. Je lui ai dis d’accord mais tu t’occupes de tout. Aussi, elle a réservé dans un grand restaurant et nous devions dormir dans son appartement au bord de mer. Une semaine avant, elle me dit qu’elle n’avait rien à mettre et qu’elle souhaiterais faire des achats dans la grande ville voisine. Aussi, je me suis proposé pour l’accompagner. Nous avons passé la journée à faire des magasins comme un vieux couple. Je profitais des habillages pour l’observer et elle sentait mon regard (deux ou trois fois, elle m’a aperçu la regarder alors qu’elle se changeait). Je l’ai guidée également sur son choix : une robe longue moulante. Par contre, lors des essayages, on pouvait devenir sa culotte. Aussi, je lui ai dit que cette robe lui allait bien mais que j’aimerais qu’elle ôte sa culotte car les marques étaient disgracieuses. Elle est revenue quelques minutes plus tard sans marque mais le visage rougi. Dans le coin de l’oreille, je lui ai dis :’tu es bandante comme ça ". Elle m’a répondu : ‘c’est ce que je voulais t’entendre dire ". Je l’ai raccompagné jusqu’à la cabine et j’ai tenu le rideau pendant qu’elle enlevait cette robe. J’ai pu m’apercevoir qu’elle avait en effet enlever sa culotte et j’ai pu constaté que sa toison avait disparu. Avant qu’elle ne s’en aperçoit, j’ai prix la culotte en question et je l’ai glissé dans ma poche et je suis parti l’attendre à la caisse. Je l’ai vu arriver en me disant : on m’a volé ma culotte ". Je lui ai répondu qu’il y avait souvent des malades qui rodaient et qui prenaient un malin plaisir à chiper les culottes pour se masturber dedans. Elle a éclaté de rire et nous sommes partis bras dessus dessous. La savoir cul nu m’excitait au plus au point et la journée passé ensemble n’a fait que nous rapproché. Elle a acheté un certain nombre de tenue : des jupes, des chemisiers. Toutes ces tenues ont été choisis par moi. Je lui disait : tu mettras ça avec ça avec des bas, tu ne mettras pas de soutien gorge avec ça etc… Lorsque je l’ai déposé chez elle, elle m’a embrassé sur le coin des lèvres en me disant : " Merci pour la journée, je me suis sentie désirée et aimée toute la journée ". Le soir du réveillon est enfin arrivé : Il était convenu que je la rejoigne à l’appartement car je travaillais un peu tard. Je suis arrivé à l’heure dite 7 h avec un grand bouquet de fleur, une bonne bouteille de champagne et mon cadeau de NOËL : une parure soutien gorge et string mauve du plus bel effet ainsi que le porte jartelle et les bas. Elle m’a ouvert la porte avec un sourire et une joie non dissimulée. Elle portait cette robe moulante (il n’y avait pas de marque), je la fis tourner sur elle 4 ou 5 fois pour l’admirer. Elle m’a débarrassé de mon bouquet et de ma bouteille en un clin d’œil. Je suis resté sur le pas de la porte à l’admirer. ‘Eh Christian, la soirée ne se passe pas dehors ". Nous nous sommes dit bonjour en nous faisant quatre bises. Elle m’a demandé de m’asseoir sur le canapé pendant qu’elle allait nous servir le champagne. Elle s’est assise en face de moi. Je n’ai pas plus tenir plus longtemps et je lui ai tendu mon cadeau.

Elle : Il ne fallait pas Christian

Moi : Ce n’est rien

Elle : Je n’ai rien pour toi

Moi : Ta présence est le plus joli des cadeaux

Elle a ouvert le cadeau et a porté en main le string, le soutien gorge

Elle : Il ne fallait pas ….. Elle a commencé à pleurer

Moi : Qu’est ce qu’il y a

ELLE : Excuse moi mais c’est la première fois que l’on m’offre de la lingerie. Il a fallu que j’attendes 57 ans

Moi : Vaut mieux tard que jamais

Elle : Viens que je te remercie

Moi : Non, tu me remercieras qu’une fois que lorsque tu les auras essayés

Elle (un regard coquin) : Mon petit cochon

Elle allait partir quand je l’ai retenu par le bras

Moi : Non, ici, essayes les ici, nous n’avons plus rien à nous cacher maintenant

Elle me regarde et se lève, je me mets derrière elle et je descends la fermeture de sa robe tout doucement. Et là, surprise elle est nue avec ses dim ups et ses escarpins. Je me rassois en l’embrassant dans la nuque submergé par la vision pendant qu’elle se retourne en me disant : " Au moins comme ça il n’y avait pas de trace ". Alors, elle s’habille de cette parure qui lui va à ravir en me disant : " c’est bien que mon homme sache mes mensurations ". Elle s’exhibe un peu en remontant ces bas : quel cul. Puis elle se retourne en me disant : " Christian, je n’aurai que deux hommes dans ma vie. Mon mari qui ne m’a fait rien connaître. Et toi. Je veux être ta femme Christian. Je veux remplacer tes mains je veux te sucer à chaque fois que tu bandes, je veux te goûter à chaque fois que tu jouis, je veux que tu prennes mon cul pour la première fois. Je me donnes à toi, je suis ta soumise, Christian. Christian je veux que tu me baises quand tu en auras envie ". A ces mots, je me suis levé et je l’ai prise dans mes bras en lui disant : " moi aussi, ginette, je te veux, je vais te faire jouir, je vais t’enculer, je vais te prendre partout : tu vas devenir ma femme. Mais saches que l’on découvrira ensemble plein de choses ". Et je l’ai embrassé ma langue autour de la sienne. Elle s’est détachée de moi, a défait ma braguette et elle a sorti mon sexe qui n’a jamais été aussi tendu. Elle a reculée : " Mon dieu, il est gros, tu me le donnes mon amour, j’en ai tellement envi". Puis elle a sorti sa langue, elle l’a fait tourner autour de mon gland en me regardant. Puis d’un seul coup, elle l’a gobé. Ses mains me caressaient les testicules, remontaient jusqu’à l’anus. Je l’ai prise dans mes bras je l’ai de nouveau embrassé et elle m’a dit : " Prends moi Christian. A chaque fois que je me masturbe je pense à toi. Prends moi en levrette, mon amour, défonces moi ". Elle s’est retournée à enlever son string et elle est venue s’empaler sur mon sexe. Il n’y a pas de mots pour décrire cet instant là : la chaleur de son fourreau. Elle se retournait de temps en temps pour me donner sa langue. Puis, elle a joui longuement en criant : " Christian mon amoooooooooooooooooooooooooooooooooourrrrrrrrr ". Elle s’est détachée de moi en me disant : " Merci mon amour, je n’ai jamais joui ainsi. Donnes moi ton jus maintenant. ". Elle s’est mise à quatre pattes devant moi entre mes jambes et gobé mon sexe. " Mon Dieu qu’il est gros, je n’arrive pas à le prendre en bouche. Je t’aime mon amour donnes moi ton jus ". Elle s’est mise à me caresser délicatement le sexe en faisant parcourir sa langue. Je me suis levé et j’ai enlevé mon pantalon (je n’avais pas mis de calecon). Elle était toujours à genoux et elle s’est ruée sur mon sexe : Mon Dieu qu’elle était belle et excitante. Elle a de nouveau gobé mon sexe avec son regard langoureux. Ses mains se baladaient des mes testicules à mon anus. " ça vient ma belle ", elle s’est contenté de gober encore plus mon sexe. Et ensuite ç a été le nirvana, j’ai joui, j’ai eu l’impression de me vider de mon sang, mes jambes ne me tenaient plus. La pauvre Ginette en avait partout alors doucement je me suis agenouillée à ses côtés et je l’ai embrassé, nettoyée. Je me suis aperçu à ce moment qu’elle pleurait (décidément).

Moi : ça va mon amour

Elle : Je n’ai jamais été aussi bien depuis bien longtemps et tout ça grâce à toi

Moi : C’est meilleur que le champagne

Elle : Oh oui, je crois que je vais suivre ce régime tout les jours

Nous avons échangé de nombreux baisers plus tendrement. Nous étions toujours son canapé. J’embrassais alternativement son cou, ses épaules pour descendre sur deux collines. Je suis passé de l’un à l’autre tout doucement en faisant passer ma langue sur ses adorables tétons qui durcissaient au fur et à mesure. Je les mordillais et j’obtenais un soupir de satisfaction. Mon but était de l’exciter encore. Je me suis séparé d’elle et j’ai regardé ma montre : déjà 8h. Nous devions être au restaurant à 8 h

Moi : Ma belle, on doit y aller

Ginette : non, j’ai envie de te manger encore.

Moi : Ecoutes, nous allons avoir tout le temps ensuite

Ginette : J’ai faim de ta queue, mon amour et tu es encore tout dur

Moi : Tu t’occuperas de ma queue dans la voiture si tu as si faim que ça

Ginette : Cochon

Nous sommes rhabillés mais je lui ai demandé de pas mettre de string, ni le soutien gorge

Elle était fabuleuse, nous avons passé notre temps à se caresser… La suite bientôt

Par chrisgueg - Publié dans : Histoires vécues
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