Mercredi 7 février 3 07 /02 /Fév 16:35

J’ai 38 ans , j’habite une fabuleuse région qui est la BRETAGNE SUD et je suis un fou des femmes mures. J’adore leurs corps, leurs regards, leurs gestes. Ce sentiment d’être moins belle, les rend encore plus désirable. La 1ère question : Pourquoi les femmes mûres ? Tout simplement peut-être parce que ma 1ère femme a été une femme de 47 ans. Elle m’a fait découvrir les délices du corps d’une femme et la folie du sexe. Elle m’a rassuré sur mes capacités sexuelles. Cette expérience a duré plus de deux ans avant qu’elle arrive aux oreilles de son mari. Aujourd’hui, si je vous écris c’est uniquement pour vous raconter mon histoire avec cette femme (Dominique) de 58 ans qui me fait encore chavirer. Notre rencontre s’est déroulée banalement un midi, il y a plus de 10 ans. J’allais manger ou plutôt réaliser des courses quand je l’ai croisée : un regard, une bouche, des formes. Cette rencontre m’a tout simplement électrisée :le sentiment d’avoir croisé votre double féminin m’a envahi. Elle ne ressemblait aucunement aux mannequins : 1,65 55kg 90B toujours talons et tailleur. Mais tout, chez elle, dégageait une sensualité, une douceur, une folie…Cette rencontre s’est déroulée sur deux ans au moins 500 fois. A chaque fois, nous avions ce sentiment de prendre du plaisir : elle à s’habiller d’une façon sexy et moi à la dévisager du regard. On se suivait, elle comme moi, on se croisait, recroisait, on se cherchait du regard. Mais ni moi, ni elle avons franchi le 1er pas. Ma situation professionnelle ayant évoluée, je l’ai perdue de vue pendant plus de 7 ans. C’est 7 ans ont été ponctués d’approche féminine plus où moins réussie. Mais, j’ai gardé et accentué cette manie de regarder ces femmes mûres. Je n’aime pas ce mot " mûres ", je dirais femmes tout simplement. Un regard, un sourire, des jambes gainées de bas, des hanches, des fesses… Un jour, je suis revenu dans cette ville (préfecture) pour visiter un nouveau client. Le midi, il faisait beau, je suis allé au bord de mer. Et là, le long d’un sentier côtier, c’était elle. Mon dieu qu’elle était belle. Et pourtant, elle était en jogging, basket. Une érection fulgurante vient trahir mon envie. Un regard, un sourire. Comme avant ? Non, que ce soit elle ou moi nous avons fait ce pas qui permet de se parler. Elle discutait du beau temps, de la chance d’être au bord de la mer, de sa nouvelle vie ( pré-retraite), de sa solitude et moi de ma vie, de mon boulot. Notre rencontre a duré plus de 2 heures à marcher et à discuter comme si deux vieux amis se rencontraient. J’ai du abréger cette rencontre pour des raisons professionnelles en m’engageant à la revoir le lendemain après-midi à 14heures au même endroit. Des bises sur les joues scellèrent notre séparation ( la dernière fut sur la bouche). Le soir, en rentrant, j’ai tout de suite posé une demi-journée de congé pour pouvoir passer l’après-midi avec ma DOMINIQUE. La nuit et la matinée furent longues. 14 heures, j’étais là tremblant sur ce parking comme un jeune puceau qui attend sa première fille. 14h15, toujours personne. 14h30, personne, j’attends jusqu’à 45. 14h42, elle arrive avec sa corsa. Elle sort de la voiture : elle est habillée comme avant : tailleur, talons aiguilles. En sortant de la voiture, j’ai pu remarquer qu’elle portait des bas. Elle vient rapidement à moi :

ELLE : Au chéri, j’ai eu peur que soit parti

MOI : J’étais parti pour attendre toute l’après midi

ELLE : Une amie est venue à la maison et impossible de partir

MOI : Peu importe, tu es là.

Nous nous retrouvons dans nos bras et nous nous embrassons à pleine bouche. Sa bouche, sa langue sont délicieuses. Des personnes passent mais elles ne nous dérangent pas. Nos mains se touchent, nous carressent. Et je touche ses seins, son dos, ses hanches, ses fesses.

ELLE : Viens, suis moi, on sera mieux chez moi.

Aussitôt, nous sautons dans nos voitures respectives. Elle tourne à gauche, à droite. Mon dieu comme elle va vite. Le trajet dure pas plus de 5 min. Elle s’arrête, elle attend que je sorte et que je viens à sa voiture pour sortir. Et là, j’ai une vison de rêve : des jambes fines gainées de bas noir attachés à un porte-jarretelles et au dessus rien, si un beau sexe bien lisse. J’ai l’impression qu’elle garde cette position au moins pendant 5 min. Elle se relève, me regarde :

ELLE : Petit cochon…

MOI : C’est encore plus beau que dans mes rêves.

Elle s’accroche à moi et m’embrasse à pleine bouche sans se préoccuper du papi qui passe. Nous nous retrouvons très vite dans un immeuble de 10 étages et dans cet ascenseur. Aussitôt, la porte fermée, elle descend sa main sur ma braguette et me caresse le sexe dans toute sa longueur. C’est divin.

MOI : Petite cochonne…

ELLE : Ca a l’air mieux que dans mes rêves.

Elle défait le zip et sort mon sexe et s’accroupit. Elle me regarde, elle me fait un clin d’œil et commence à passer sa langue sur mon gland qui est mauve d’excitation. Le trajet au 6èeme étage a été rapide mais fabuleux. Nous sommes arrivés à sa porte en s’embrassant comme des fauves: elle tenait et caressait toujours mon sexe dans sa main. Et après l’ouverture de la porte : un cyclone. Nous sommes allongés dans son entrée : moi entre ses cuisses et elle suçant mon sexe. Des cris de jouissances résonnaient dans ma tête. Ma langue passait de son clitoris à son sexe et à son anus avec délectation. Sa jupe était mouillée de cyprine et de bave. Je ne suis pas de glace moi non plus et au bout de quelques minutes de ce traitement.

MOI : Attends, je veux jouir en toi

ELLE : C’est merveilleux. Moi aussi, je veux te sentir en moi.

Aussitôt dit aussitôt fait. Nous nous sommes retrouvés sur son canapé : elle à quatre pattes et moi derrière. J’ai joué avec mon gland sur son sexe passant de son sexe à son anus.

ELLE : Je te veux, viens, tu m’enculeras tout à l’heure.

MOI : Tu es belle, ton cul est merveilleux

ELLE : Viens, mon chéri

Je suis rentré doucement dans ce sexe de velours et je me suis mis à la besogner doucement. Et puis, le coup final.

ELLE : Viens, arrose moi la chatte

MOI : Je n’en peux plus

ELLE : on va jouir ensemble

MOI : Oui, ma douce

Et, j’ai poussé, poussé et arrosé son sexe de sperme. J’ai eu l’impression que ça durait 5 min. Elle était prise de tremblement ;

ELLE : je jouis mon chéri.

Nous sommes repus sur son canapé en s’embrassant et en se cajolant mutuellement. Je croisait son regard et je me sentait bien. A ce moment, j’ai pu regarder autour de moi et détailler le salon. Mon regard est resté figer sur la baie. Dans un autre appartement de l’immeuble en face, une femme nous regardait. J’indiquait la direction à DOMINIQUE.

Moi : nous avons une voyeuse

ELLE : je sais c’est mon amie de tout à l’heure.

MOI : A bon

ELLE : Elle ne me croyait pas, lorsque je lui ai dis que j’allais faire l’amour. Alors, je lui ai dis de se positionner à sa fenêtre et d’attendre. Maintenant, je veux te sentir encore en moi mon amour mais dans mes fesses.

A ces mots, mon sexe retrouva un peu de vigueur. Et je la vis sortir d’un coussin un tube de vaseline.

MOI : Je ne crois pas que ce sera utile. Tu es toute mouillée

Je me suis à lécher son anus pendant qu’elle écartait ses fesses. Puis, mes doigts furent absorbés dans son cul. Elle ronronnait.

ELLE : Allonges toi, je vais m’enculer

MOI : Attends. Déshabillons nous d’abord, je veux voir tes seins.

Nous sommes déshabiller rapidement et j’ai pu voir une magnifique paire de seins que je n’avais pas encore goûter. Je me suis mis près de la baie et elle est venue s’empaler sur mon sexe. Elle l’a absorbé sans problème avec un sourire de satisfaction puis elle a commencé à monter et à descendre tout doucement. J’accompagnais ces aller retours par des caresses sur son sexe et des coups de langue sur ses magnifiques seins. Ce manège a duré, duré. Elle a joui, joui toujours en regardant sa voisine qui ne se cachait plus pour se masturber. Lorsqu’elle a senti que je venais, elle est venue me finir avec sa bouche toujours avec ce regard. Et j’ai joui, joui puis elle est venue me faire déguster mon nectar. Elle sentait ce mélange d’odeur qui donne des frissons dans tout le corps. Nous avons échangé puis l’heure venant nous nous sommes séparés dans une mélange d’amour et de tristesse. Je l'ai revu : elle et sa voisine. . Aujourd’hui, je suis sur Lorient et j’aimerais rencontrer encore une femme aussi douce, aimante qui n’a pas honte de son corps et de ses envies. N’hésitez pas à me contacter : c’est une première fois…

Par chrisgueg - Publié dans : Histoires vécues
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