 
  Bonjour,
  Aujourd'hui voici l'histoire de Tante Solange, je vous laisse imaginer
  
  
    Je n'avais pas revu ma tante Solange depuis quelques années. Elle avait à présent environ 55 ans et m'avait
    laissé le souvenir d'une femme blonde et douce dont la féminité ne m'avait jamais effleuré l'esprit autrement
    que de manière neutre. Femme mûre, elle ne faisait donc pas partie à mes yeux de jeune homme de 22 ans du vaste royaume des beautés sensuelles et séduisantes. Je m'intéressais surtout aux jeunes
    filles de mon âge et ne prêtait nulle attention aux personnes dont je m'imaginais qu'elle n'avait plus ni désir ni pouvoir
    d'attraction. Or, je me trompais. Je vins à Orléans pour un salon du livre que je
    souhaitais visiter afin d'y apercevoir quelques auteurs que j'aimais. Tout naturellement, tante
    Solange m'offrit de me loger chez elle. J'arrivai un vendredi, vers 16 heures et sonnai à sa porte.
    J'entendis ses pas assez vifs derrière la porte qui s'ouvrit presque aussitôt.
    
 
    La soirée s'acheva. Tante Solange me souhaita une bonne nuit et je me retirai dans la chambre qu'elle m'avait préparée, à l'autre bout d'un long couloir. Je me mis au lit, passablement perplexe.
    J'avais du mal à trouver le sommeil et décidai d'aller à la cuisine boire un verre d'eau. Il me fallait pour cela passer devant la chambre de ma tant et je pris soin de marcher sans bruit afin de
    ne pas la déranger. Mais, comme j'arrivais à hauteur de sa porte, je vis que celle-ci n'éait pas entièrement close et que la chambre était allumée. Je perçus aussitôt le souffle un peu oppressé
    de ma tante et de légers gémissements
    qui montaient parfois tandis qu'elle paraissait s'agiter dans son lit. J'allais frapper et lui
    demander si elle était indisposée quand, je vis dans l'entrebâillement de la porte, le fauteuil où ses
    habits étaient rangés, notamment ses bas sur l'accoudoir et un somptueux porte-jarretelles rose
    pâle. Alors je compris que tante Solange n'était pas proie d'une souffrance mais d'une jouissance : en
    prêtant mieux attention aux sons qui venaient du lit, je reconnus le petit pétillement mouillé d'un sexe de
    femme excitée qu'un ou plusieurs doigts passionnés stimulent en le pénétrant. Ainsi, ma tante, la sage
    tante Solange, était occupée de se masturber dans son lit. Aussitôt, mon membre bouillonna et se tendit dans mon boxer : je devinais que tante Solange, tout en se caressant pensait à moi. Elle
    devait être renversée sur le dos, les jambes écartées, les doigts d'une main contre sa chatte mûre, tandis que l'autre main devait sans doute pincer doucement les pointes de ses vastes seins,
    masser ces derniers, les faire lentement tourner dans ses paumes comme des planètes soyeuses. Et ma tante devait sans doute incliner la tête en arrière, la bouche ouverte sur sa langue, dans un
    rictus d'avidité et de délectation, les paupières
    closes afin de mieux se concentrer sur sa caresse. Je sentis passer en moi comme un orage de confusion et de désir irrésistible.
    
 
    Debout dans le couloir, j'écoutai les progrès de son plaisir tout en commençant de
    caresser ma queue dressée qui tendait à le rompre le léger tissu moulant de mon boxer. Mon gland ruisselait
    de trouble et de délice. Puis je pris peur et m'éloignai sans bruit, regagnai ma chambre et me
    couchai, le cœur battant, le sexe encore bandé à l'extrême, me disant que non, il ne fallait pas aller
    jusqu'au bout de mon désir pour l'instant, car, si comme je le prévoyais, la masturbation de tante
    Solange n'était que la première étape de mon séjour sous son toit, il serait judicieux de réserver ma
    jeune virilité pour ce qui viendrait ensuite. revenu à ma chambre, je me glissai dans mon lit, le
    cœur battant et le sexe toujours aussi dur d'émotion. J'avais beau vouloir m'endormir, je n'y pouvais
    parvenir : j'avais trop chaud. Je repoussai le drap, retirai mon boxer qui me serrait en raison de mon
    érection persistante et, posant la main contre la chaleur ronde de mes bourses, je finis par me laisser
    flotter vers les régions d'un sommeil flou, nerveux, entrecoupé de rêves étranges. J'étais, comme la veille
    au soir, assis face à tante Solange dans le salon, après dîner et nous conversions paisiblement. Mais, au
    lieu des paroles qu'elle avait prononcées sur des sujets ordinaires et anodins, je l'entendais me dire,
    en souriant : "Aimerais-tu voir ma chatte, cher neveu ? Allons ! Ne rougis pas ! Je suis certaine que tu
    adorerais contempler la chatte de tante Solange. N'en as-tu pas toujours rêvé à l'époque où tu te masturbais
    en cachette dans les toilettes de la maison de vacances ? Tu sais c'est une belle chatte qui a vu
    beaucoup de queues et se réjouirais de voir aussi la tienne. des hommes se sont battus pour elle !
    Aimerais-tu la toucher, la lécher, mon tendre cher neveu, cette chatte de tante Solange, qui dort entre
    ses cuisses, sous le voile rose de sa culotte ?" Et ce faisant, elle ouvrait les jambes, les croisait comme
    le avait fait quelquefois la veille, balançait un pied, ce qui faisait gonfler sa cuisse moulée de
    voile brillant. Ce fut ainsi toute la nuit. je me souviens qu'à un certain moment, la même scène se rejouait J'avais ouvert mon pantalon et, tandis que tante Solange me murmurait des mots
    absolument troublants, évoquant sa chatte et ma queue, j'entreprenais de me masturber doucement sous ses yeux.
    
 
    Soudain, je m'éveillai. Je me tournai d'un bloc. Tante Solange était penchée au-dessus de moi. Elle souriait.
    je sentis le retrait de sa main qui, une seconde plus tôt, devait sans aucun doute enlacer ma queue érigée,
    car j'en sentais encore la moelleuse brûlure, et je devinais aussi qu'elle s'était longuement aventurée en
    effleurements ténus entre mes cuisses, contre mes hanches de garçon, sur mon ventre et jusqu'aux pointes
    de me seins, car celles-ci étaient érigées. Elle se pencha, m'offrant de deviner un décolleté profond où
    luisaient ses seins lourds, dans l'échancrure d'un corsage ivoire, embrassa ma tempe, puis elle rabattit
    le drap sur ma virilité tendue à l'extrême et, affectant de n'avoir rien vu ni osé le moindre geste,
    elle se contenta de déclarer à mon oreille, d'une voix rieuse et comme mousseuse de féminité : "Debout mon
    cher neveu ! Il est grand jour. Ton petit déjeuner est prêt." Pendant le petit déjeuner, je n'osai guère regarder
    tante Solange, mais je n'en constatai pas moins qu'elle souriait en m'observant. Elle portait une jupe fendue qui parfois, lorsque elle faisait un mouvement, révélait sa cuisse assez haut pour me
    laisser deviner la couture d'un bas. A peine une vision fugitive dont je sentais qu'elle n'était qu'un prologue. Mais il me fallait au moins affecter de respecter l'emploi du temps que je m'étais
    fixé. j'allai donc au salon du livre, mais dès quinze heures, je fus de retour,prétextant la fatigue due à al foule. Tante Solange sourit à nouveau du même air entendu que le matin et me dit
    qu'elle allait me préparer un thé. J'attendis son retour, assis dans un vaste fauteuil, ne sachant que faire pour vaincre la timidité qui maintenant s'emparait de moi.
    
 
    Elle revint, me demanda de lui prendre le plateau des mains et de le déposer sur la table. je m'exécutai, me redressai et me trouvai à un pas seulement de tante Solange qui, immobile me regardait
    au fond des yeux. Je sentais son parfum poudré et la senteur de sa peau blonde, tandis que m'apparaissait le mouvement léger de sa bouche. "Tante Solange"... murmurai-je. Je m'approchai d'un pas.
    Je sentais désormais son souffle contre mon visage et soudain, mon buste toucha l'arrondi de ses seins finement masqué par le corsage et sans aucun doute un soutien-gorge arachnéen. "Tante
    Solange", murmurai-je à nouveau. "Oui", dit-elle, "viens", puis elle ferma les yeux et je me pressai doucement contre elle, enveloppant ses épaules de mes mains tremblantes. Je fermai les yeux à
    mon tour et ma bouche s'unit à la sienne dans un lent mouvement hypnotique. Aussitôt, ses lèvres s'ouvrirent et ma langue enlaça la sienne tandis qu'elle m'appuyait à elle. Ce fut un
    évanouissement lucide de stupeur et de bonheur. Il y avait la langue de tante Solange, sa bouche me buvant, la mienne plongeant en la sienne, ses seins gonflés de désir contre mon buste, son
    ventre un peu renflé et moelleux sous l'étoffe de la jupe, qui oscillait doucement contre le mien, la suave brûlure liquide de ma queue érigée contre son pubis, le balancement de ses hanches,
    celui de ses cuisses entrelacées aux miennes, dans un pas de slow immobile, sa bouche posant des baisers passionnément indécents sur mes yeux, le lobe de mes oreilles, mon cou, le bord de mon
    menton. Et moi qui maintenant saisissait ses hanches, oh ses somptueuses hanches mouvantes, puis les deux dômes solennels de ses fesses et je la pressais à pleine main, tout entière contre moi,
    dégrafant son corsage et faisant jaillir l'un après l'autre les globes de ses seins luisants à la lumière d'après-midi filtrée par les rideaux et les stores à demi baissés, ses seins abondants,
    parfumés et tressaillant, en masque de satin et de dentelle rouge à travers lequel, de chaque côté, je sentais sous mes doigts les lunules es aréoles et les boutons souples des pointes. Je les
    happais entre mes lèvres à travers le soutien gorge et commençai de les lécher, de les mordiller tendrement, et je l'entendis soupirer à chacune de ces exquises morsures, tandis que mes mains
    s'efforçaient de soulever la jupe et de se glisser très haut le long de ses cuisses pleines. Je sentais sous mes doigts le réseau inifiment subtil des mailles scintillantes qui pétillaient un
    peu, puis, soudain, glissant d'un coup, j'atteignis la bordure des bas, entrai dans le royaume de la douceur et du glissement pur : je venais de toucher ses cuisses, l'intérieur de ses cuisses
    nues, là où la peau de toute femme est un évanouissement de volupté aux doigts de l'amant, une peau fraîche et vibrante qui faisait monter en moi de longues ondes de désir, de mes doigts
    électrisés jusqu'à mes bourses durcies et renflées, jusquà ma queue ruisselante d'érection et de scintillements intérieurs. Oui, je caressais les cuisses de tante Solange qui les écartais pour
    moi, m'offrait ses seins encore masqués tout en tétant ma langue et en murmurant à travers les baisers : "Oui, déshabille-moi mon chéri, déshabille-moi".
    
 
    J'obéis et ouvris prestement les boutons du corsage, l'aidai à en retirer les manches, tandis qu'elle cambrait vers l'avant ses seins fruits de femme mûre, épanouis à le faire éclater dans le si
    léger soutien
    gorge rouge que je dégrafai dans son dos, et alors, les seins jaillirent à mon visage comme des grenades
    blondes qui répondraient leur pulpe à la bouche d'un dégustateur affamé et assoiffé : des seins largement
    développés, pesants comme la chaleur dorée d'une longue journée d'été, mais ni pendants, ni défaits. Au
    contraire, ils étaient en gloire mûre, tels des grappes de neige blonde, des seins de déesse chargée
    de tous les fruits de la terre, avec le ventre infiniment doux, moelleux et profond comme un coussin
    de plume, et je me mis à follement embrasser et caresser de toutes mes mains et de tout mon visage
    tout ce trésor de chair vibrante, duveteuse, sans me rendre compte que tante Solange me dévêtait, me
    rendait nu devant elle et posait ma queue bouillonnante contre la suavité de sa peau. J'étais
    enfoui dans ses seins, dans les arches, les grottes, les jardins exubérants de ses seins, piaffant de
    délice, tandis quelle glissait ses mains de fée expérimentée entre mes cuisses, y faisait naître un
    feu nouveau très pur et absolu, consumait mes testicules dans la coupe de douceur affolante de ses
    doigts aux ongles long, vernis d'un beau rouge cerise, glissant les index le long de mon aine ce qui me fit
    tout entier frémir d'extase. Je réussis cependant à ôter sa jupe, je ne sais comment et vis alors ses hanches, admirablement galbées, comme des orbes partant de sa taille et venant rejoindre ses
    cuisses comme les anses d'une tasse en porcelaine, des hanches de femme accomplie, maîtresse de la charnellité supérieure, comme aucun de mes jeunes amantes n'en possédaient et qu'ornaient le
    bijou rouge d'un splendide porte-jarretelles ! Et puis il y avait le triangle de satin rouge qui épousait encore son intimité d'une appétissante courbure, avec les bordures de dentelles au bas de
    son ventre renflé au-dessus de cette sublime culotte, mais était-ce une culotte ?
    
 
    Je fis tourner sur place tante Solange, et alors, je vis, oui, je vis ! Non la chair fatiguée que j'avais supposé, non la perte de la féminité que je redoutais à ce lieu d'elle, mais des fesses
    divines, serties par les arceaux de ce qui était en fait un string, rondes, cambrées, épanouies sans aucune pudeur ni aucune disgrâce, le cul magnifique et sans égal d'une reine de cinquante cinq
    ans, forte de toute sa sensualité, oh oui,, un cul de vraie souveraine, impératrice de mon cœur et de ma queue, aux globes presque phosphorescents de blancheur blonde, tels des miroirs infiniment
    bombés, des éventails déployés en volumes, des fesses à mourir de bonheur, si bien qu'en y plaquant mon ventre et ma queue, tandis que je saisissais ses seins palpitants à pleines paumes, je
    faillis presque jouir et dus m'écarter un instant afin de remettre à niveau le déroulement de mon désir. La coquine les balançait vers l'arrière, ces fesses de magicienne mûre, cherchant ma
    queue, mes couilles et mes cuisses, mon ventre ému de jeune mâle pour la première fois aboudé et intronisé dans la chevalerie galante de la femme mûre. "Oui, mon adorable neveu, viens t'allonger
    que je suce cette adorable membre qui ressemble à un jeune daim échappé de sa harde. Viens chéri, j'ai tant envie de te goûter !" Elle me fit basculer sur le tapis, et penchant sur moi les edens
    jumeaux de ses seins, elle saisit ma sexe tendu à se rompre et entrepris de le branler très finement, lentement, tandis que sa langue faisait naître des fourmillements de rosiers frais sur mon
    ventre, aux attaches de mes cuisses, contre mes bourses, à la racine de ma queue. Puis elle éleva sa bouche fondante et enveloppa mon gland et le membre tout entier dans un océan de langue, de
    salive et de langue, et de salive et de succions à hurler de bonheur si je n'avais été renversé dans un doux râle continu.
    
 
    Puis je connus sa chatte, toute lisse et rose, charnue, avec un clitoris en perle dilatée, sa liqueur ruisselant de façon continue, son ventre et son pubis un peu bombé de femme mûre, avec juste
    un très léger triangle de boucles blondes, puis une levrette magnifique nous emporta à travers les nuées du plaisir qui monte, les claquements mouillés des sexes qui se compénétrent, ceux de mon
    ventre heurtant à chaque reprise les fesses fastueuses de tante Solange et le faisant vibrer alors d'une longue houle sexuelle, pendant que j'accompagnais des yeux ou des mains l'affolement
    pendulaire de ses seins en grappes suspendues, puits de lourdeur satinée qui m'emportaient en un délice sans fin, jusqu'à la jouissance où ma queue et sa chatte explosèrent de cris et de bonheur
    :
    
 
    "Oh oui mon neveu chéri, baise ta tante Solange, baise-moi bien, oh oui, baise moi comme ça, avec toute ta queue mon neveu chéri, oui, oui,oui, prends-moi encore, oh oui, vas-y, ahhhh, ahhh,
    ahhh, oui je jouiiiis, ahhhhh ! "hurla-t-elle d'une voix nouvelle, mordorée de plaisir, voix profonde et moirée comme une tenture de velours, qui fit s'épanouir jusqu'au plafond le prolongement
    sonore de nos deux extases.
    
 
    Oh tante Solange aux seins fruits de la passion mûre, à la chatte juteuse d'amante océanique, ton visage au sourire d'ange accompli dans son âge d'expérience, tante Solange, mon amante de
    quelques nuits qui ont fait de moi l'amoureux fou des femmes mûres que je suis devenu depuis lors, sois remerciée
    de cette offrande absolue à la pensée de laquelle je vibre encore, tant d'années après, tandis que bande
    progressivement ma queue éblouie, pour mon plus grand délice ! Tout à l'heure en effet, pour la première
    fois, je retrouverai Gabrielle X, charmante nymphe de cinquante sept ans et je sais qu'au cinéma dont nous
    avons fait le prétexte de ce premier rendez-vous, nos bouches s'offriront leur sirop floral de baisers
    amoureux, tandis que mes mains émues, glissant sous sa jupe, monteront le long de ses cuisses, jusqu'à sa culotte trempée de désir !
    
    Merci à toi Didier (PAscal) pour cette magnifique histoire
    
    A qui le tour ????
    
    Bon week-end à vous
    Chris
  
			
		 
		
		
		
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